Pour réserver votre place pour la bouillie, plusieurs possibilités :
* Les Billets en ligne ont un prix légèrement majoré dû aux frais de gestion engendrés.
Depuis 2002, certains mots, certaines expressions se sont progressivement associés à ce festival convivial, festif, familiale et solidaire qu'est la "Bouillie à Sosso", c'est l'heure de réviser !
"La Bouillie à Sosso" : Au début des années 2000, une bande de copains issue de Cheffois (85) et ses alentours décide de lier leur passion pour la musique et la fête en montant un festival musical. Il leur faut donc trouver un lieu. Après un casting local, c'est un champ situé dans le village de La Taponnière à Cheffois qui va retenir leur attention. Ce champ était alors surnommé "La Bouillie" par son exploitant agricole en raison de son état lors des périodes pluvieuses ! Et comment se prénommait cet exploitant ? Mr Sausseau ! "La Bouillie à Sosso" était née.
Sosso le lapin : Suite de notre histoire ... Ce fameux champ de la Taponnière où le festival prend source, était bien connu pour être remplis de ... lapins !! C'est ici que nos bénévoles en ont fait la rencontre ! Le choix d'une mascotte n'était donc pas très compliqué pour représenter le festival !
Sossonévole : Membre de l'association "La Bouillie à Sosso". Plus d'information ici.
Les réseaux sossos : Instagram, Twitter, Facebook vous connaissez ? Et bien Sosso le lapin aussi ! Rejoignez-le !
Le terrier : Le lieu du festival ! Plus officiellement appelé "Vallée Verte" à Cheffois, depuis le déménagement de votre lapin préféré dans le centre ville de la commune. C'est ici que votre ami rose passe l'hiver au chaud en attendant le mois d'août.
Un Bouilleur : Un bouilleur, c'est toi, c'est eux, c'est vous, c'est nous ... enfin tous ceux qui se rassemblent dans la bonne humeur le premier week end d'août à Cheffois !
Seront présents dans le terrier le 3 août 2019 prochain :
La Bouillie à Sosso festival "solidaire", mais pourquoi ?
Depuis son déménagement en 2008 dans le centre-ville de Cheffois, l'association affiche sa volonté de lier musique, festivité et solidarité. Pour cela, un partenariat a été établi avec La Banque Alimentaire et son antenne vendéenne.
Le principe est simple. Si le festivalier vient avec une boite de conserve de taille normale (4/4), un ticket conso lui est remis en échange (2€).
Chaque année l'association récolte ainsi entre 1000 et 2000 boites de conserves qui seront utilisées par La Banque Alimentaire dans ses actions solidaires.
Les Banques Alimentaires ont été fondées sur des principes qui régissent encore le quotidien des 79 Banques Alimentaires et 23 antennes : la lutte contre le gaspillage alimentaire, le partage, le don, la gratuité, le bénévolat et le mécénat.
Le 13 mars 1984, La Croix publie une tribune intitulée « J’ai Faim », écrite par Sœur Cécile Bigo, dénonçant le scandale de la pauvreté qui cohabite avec le gaspillage de denrées alimentaires.
Dans cette lettre, Sœur Cécile Bigo écrivait ces mots «…Quelle est la personne de génie qui surgira et aura assez d’astuce pour mettre en place, avec d’autres, le procédé de récupération rapide et efficace des aliments avant qu’ils ne soient jetés dans nos poubelles…».
De cette étincelle éditoriale est né le 1er réseau d’accompagnement alimentaire en France. Il est important de rendre hommage à cette prise de position !
Sans cet article, Bernard Dandrel et les 5 associations fondatrices du projet (Secours Catholique, Emmaüs, Armée du Salut, Entraide d’ Auteuil et Entraide protestante), n’auraient probablement jamais lancé la première Banque Alimentaire française à Paris, selon le modèle des Food Banks américaines.
Aujourd’hui, soit 30 ans plus tard, ces propos résonnent encore d’une triste réalité pour nos concitoyens les plus démunis…
Ce sont 1.400.000 personnes que les Banques Alimentaires aident aujourd'hui. De quoi nous donner le vertige !
Les Banques Alimentaires, départementales ou régionales, couvrent aujourd'hui pratiquement la totalité du territoire français.
Source : La Banque Alimentaire, une histoire de partage.